Consommables

Ce que privilégie PACIF’INK

Les cartouches remises à neuf ou « reconditionnées » sont les types de cartouches que nous privilégions chez PACIF’INK.

Ces cartouches d’origine sont en effet reconstruites à partir de zéro pour vous offrir la même qualité et la même fiabilité auxquelles vous êtes habitué. Plusieurs tests sont en effet réalisés pour vérifier, entre autres, l’exécution mécanique, la densité d’impression et pour déceler d’éventuels défauts.

Lorsqu’elles sont remises à neuf conformément aux normes de qualité élevées de nos fournisseurs, les cartouches de toner recyclées égalent ou surpassent les cartouches neuves et n’endommageront pas votre photocopieuse ou votre imprimante.

Correctement utilisés, les cartouches reconditionnées jouent un rôle essentiel dans votre stratégie d’approvisionnement en équipement et consommable de bureau. Elles peuvent réduire votre coût total d’impression et aider l’environnement. Si vous n’avez jamais utilisé de cartouches reconditionnées auparavant, ou si vous les avez utilisés et que vous avez été déçu, nous vous suggérons d’essayer notre marque.

Prétestée pour identifier
certaines pièces usées

Complètement démontée

Tous ses composants
sont inspectés, séparés
et nettoyés

De nouveaux tambour, rouleau magnétique ou encore lame
d’essuie-glace sont installés
si besoin

Les pièces usées
ou défectueuses
sont remplacées

Remplie de toner neuf aux
spécifications d’origine et scellé
avec une bande coulissante
pour éviter les fuites

Réassemblée et testée
sur un équipement
approprié et certifié

Emballée et expédiée
pour être utilisée

Comment faire la différence entre les cartouches recyclées et les cartouches reconditionnées ?

Le recyclage d’un matériel consiste à le retirer du flux de déchets puis à le réintroduire en tant que matière première dans le processus de fabrication qui l’a créé. Aujourd’hui dans notre marché, le terme «recyclé» est un terme commun qui ne désigne pas nécessairement le processus ou la technologie utilisée pour fabriquer un produit. En d’autres termes, toute cartouche qui a été produite à l’aide de pièces et de matériaux récupérés à partir de produits précédemment utilisés peut recevoir le nom de «recyclé», quel que soit le procédé ou la technologie utilisée.

Le reconditionnement d’un matériel suit au minimum les étapes suivantes : démontage, remplacement des pièces usées et remontage. Il réutilise donc la valeur originelle de la matière première et il y a moins d’énergie à dépenser par rapport au recyclage théorique qui refait les produits finis à partir de la matière broyée. Par conséquent, le reconditionnement contribue à un énorme gain écologique et économique par unité de produit par rapport au recyclage.

La différence essentielle entre le recyclage et le reconditionnement se situe dans la valeur ajoutée. La valeur ajoutée du produit est vue ici comme étant le coût de travail, d’énergie, et des opérations de fabrication qui sont ajoutées au coût de base des matières premières dans la fabrication de ce produit. La valeur ajoutée est de loin l’élément le plus déterminant dans le coût d’un produit.

Le recyclage détruit le gain qui aurait pu être obtenu sur cette valeur ajoutée en réduisant le produit à sa valeur élémentaire : les constituants valorisables de ces matières premières.

Le reconditionnement reprend cette valeur ajoutée, en plus des similitudes qu’il a avec le recyclage. Voilà pourquoi le reconditionnement peut être considéré comme l’ultime forme de recyclage. La cartouche reconditionnée se place comme une véritable alternative pour les entreprises soucieuses de maîtriser leur coût de fonctionnement sans faire de concession à la qualité.

Les autres produits

Dans un marché pris en embuscade entre les copies non respectueuses des brevets, les produits de contrefaçon et les produits de mauvaise qualité imitant les produits reconditionnés, les utilisateurs ne peuvent pas être blâmés de leur méfiance lorsqu’il s’agit de choisir un fournisseur. Avoir un fournisseur fiable représente un véritable enjeu !
Très souvent, nos clients nous posent des questions sur les cartouches et toners remis à neuf. Qu’est-ce que c’est exactement ? Est-ce que ça fonctionne bien ? Est-ce que ça fournit le même rendement de pages que l’original ? Est-ce que ça endommage l’imprimante ? Est-ce que ça peut annuler la garantie du fabricant de l’imprimante ? Pour répondre à ces questions, expliquons un peu les différents types de cartouches (encre ou toner) que l’on croise sur le marché : original, rechargé, recyclé, reconditionné, compatible et générique.
Original / OEM
Les cartouches d’origine sont fabriquées par le fabricant de l’équipement que vous avez acheté (Hewlett-Packard, Canon, Xerox, Lexmark, Brother, etc.). Elles portent la dénomination « original » car elles sont fabriquées par le titulaire des brevets qui rendent illégal pour quiconque de fabriquer ces produits neufs (moule en plastique par exemple) ou les présentant comme neufs. Cependant, il est parfois possible d’avoir plus d’une marque originale pour une même machine donnée. Cela se produit lorsqu’un fabricant particulier a acheté ou autorisé un moteur d’impression auprès d’une autre société. C’est souvent le cas pour les toners Canon et Hewlett-Packard.
Compatible/Générique
« Compatible » signifie que la cartouche fonctionnera avec l’équipement spécifié même si elle n’est pas fabriquée par le fabricant de l’équipement en question. On parle aussi de cartouche d’impression « compatible » lorsque la cartouche est physiquement différente de la cartouche d’une marque mais procure la même fonctionnalité que la cartouche de la marque conçue pour être utilisée dans un appareil de la marque. Dans la plupart des cas, cette situation existe lorsque le fabricant de l’équipement d’origine n’a pas de brevet sur la conception des fournitures ou que ce brevet a expiré. Comme pour les ordonnances génériques, cela permet aux fabricants de fournitures génériques de fabriquer de toutes nouvelles cartouches compatibles ou génériques.
Rechargés
Le remplissage ou la recharge d’une cartouche est l’ancêtre des méthodes d’allongement de sa durée de vie. Ce processus consiste principalement à accéder au toner ou au réservoir d’encre d’une cartouche en perçant un trou (parfois en démontant partiellement la cartouche), à y introduire le toner ou l’encre sans inspection ni nettoyage ni remplacement d’aucune pièce usée ou cassée, puis à refermer le trou par collage.

C’est le processus utilisé par de nombreuses petites entreprises de « recyclage ». Cette méthode artisanale, qu’on imagine fastidieuse quand il s’agit de remplir plusieurs cartouches, est utilisée depuis longtemps pour prolonger la vie des cartouches d’impression. Les remplisseurs actuels évoquent la préservation de l’environnement et l’économie financière pour l’utilisateur mais ils oublient par contre d’indiquer la qualité moindre d’impression d’une cartouche rechargée par rapport à une cartouche reconditionnée.

Une cartouche a beaucoup de composants autres que le toner. Pour n’en nommer que quelques-uns, on trouve le rouleau magnétique qui recueille et distribue le toner, l’unité photoconductrice ou tambour qui transfère l’image sur le papier, le balai d’essuie-glace qui enlève l’excès de toner du tambour et beaucoup d’autres engrenages et pièces qui sont sujets à l’usure. Recharger une cartouche est assez bon marché mais sa qualité et sa fiabilité sont également incertaines car aucune ou très peu de pièces d’usures sont inspectées et changées si besoin. Or si de nombreux composants ont une capacité à durer plus longue que la quantité de toner fournie à l’origine, ils ne sont certainement pas certifiés pour deux fois le cycle de service ou plus ! Ils nécessitent donc d’être changés pour éviter une perte de qualité d’impression.

Ces opérations de «perçage-remplissage» ne produisent pas de cartouches de qualité. Ce processus de remise à neuf simplifiée donne ainsi à ces entreprises la possibilité de fixer le prix de leurs produits rechargés à un prix nettement inférieur à celui des cartouches industriellement reconditionnées. Ainsi beaucoup de gens, qui ont eu des problèmes avec les cartouches « remises à neuf » et qui ont perdu leur foi en elles, ont en fait utilisé des cartouches rechargées sans le savoir ou sans en connaître les conséquences.

Alors lorsque le prix semble assez bas par rapport aux autres cartouches remises à neuf, posez-vous des questions et assurez-vous de comparer ce qui est comparable d’un côté un processus artisanal de rechargement et de l’autre un processus industriel de reconditionnement.